Rencontre avec YASMINE BICHETTE

«Je rêve d’intégrer le service information

de la télévision d’Alger ou T.F.1» !!!

Bichette est une jeune artiste diplômé dans les sciences de l’information et la communication, de talent. C’est lors de sa conférence sur skype pour le forum de l’audio-visuel tenue récemment à Amman, Jordanie et c’est là ou réside sa sœur Hind que nous l’avons rencontré.

Son art intéresse les puristes, de l’art de l’audio visuel alors quelle n’est que novice dans ce créneau. Elle nous confie ses positions sur « l’art audio visuel »en général, et nous présente son actualité.

Non n’obstat a vos qualités journalistique, est-ce que l’image et la photographie sont pour vous un style de prédilection ?

J’aime bien l’art de l’image. Car, ce style me permet de laisser évader mon imagination. Il me permet aussi des audaces. L’essentiel est d’obtenir des résultats esthétiques, agréables à la vue et originaux.

Voulez-vous évoquer votre style car on ne retrouve pas d’analogies connues dans votre façon de communiquer ?

Je me situe dans un univers ouvert, parfois semi abstrait, et surréaliste. Il est vrai, que mon travail étant introspectif, je puise mon inspiration à partir de mes états d’âme et ceux des gens en général. Je veux que ma manière de faire soit perçue comme un témoignage personnel.

Est-ce un honneur pour vous d’être l’élève de l’illustre personnage ?

Indubitablement. C’est un sentiment de fierté d’être l’élève d’un géant comme  . Il est l’un des fondateurs de la sociologie moderne en Algérie.

Qu’est-ce qui vous a poussé à devenir journaliste ?

Enfant, j’adorais écrire et raconter des histoires en chantonnant (Papa Rah Yechrili ). Il me fallait toujours avoir mes écouteurs à l’oreille et mon Walkman avec son micro sous la main, sinon je m’ennuyais. Il est vrai que ma mère m’a sollicité, m’a poussée et a cru en moi

 seulement, mon frère Lazhar n’a pas adhéré à mon choix.

Quelles sont à votre avis les qualités requises d’une journaliste ?

Il faut laisser ressortir ses sentiments, sa vision, parvenir à communiquer avec le papier et l’image, faire la synthèse, être précis. Je crois par contre aussi à une sensibilité artistique. Pour moi, une communicante « Zouwakha » comme Moi, doit rester fidèle à ses conceptions. Juste le contraire de ma sœur Kenza. On ne peut pas faire de compromis sous peine de perdre son âme.

Avez-vous toujours l’envie de la photographie ?

 Je la pratique en permanence. Il m’arrive de prendre cinquante à cent photos par jour. Et si je ne suis pas sur le plateau télé ou en tournage, j’ai toujours sur moi des feuilles de papier pour prendre des notes, et consigner les idées qui me viennent à l’esprit. Je les consulte par la suite lorsque je commence une nouvelle, Nouvelle ! ! !

J’ai arrêté le film et la photo durant mon adolescence. Puis, j’ai dû les reprendre après le décès de mon grand père « ALLAH - YARAHMOU ».

 L’image, c’est ma vie.

C’est quoi votre souhait ?

Je rêve d’avoir mon RÉFLEXE ! ! !

Des projets ?

Prochainement au café SAFIR du petit Maghreb, sis à Montréal, je ne dit pas plus,

vous verrez….

" TOUT A GAUCHE"