Chirurgien renommé, le professeur Mustapha Maaoui, 72 ans personnage
haut en couleur, a vu défiler la guerre, l’indépendance, l’effervescence d’une
université en édification, la “décennie noire” et le rêve d’une Algérie qui ne
se raconte presque plus.
En 2013, il se met à la plume commence à noircir des bouts de papier épars, Les mots fusent, les
années passent, un livre de 900 pages voit le jour : Du giron au perron et
des poilus aux barbus.
Actuellement en lice pour le prix de la journée du manuscrit
francophone, soumis aux votes sur Facebook jusqu’au 24 octobre prochain.
C’est dans les années 1960 que l’enfant de Batna a quitté sa ville
natale et son cercle familial pour s’installer à Alger, pour entamer des études
de médecine. Les années passent et le
jeune Mustapha, dit Didine, environ 17 ans découvre une capitale qui revit et
“essaye de rattraper le temps perdu”.
Narrateur à la sensibilité capiteuse son regard se balade d’un visage à un
autre, d’une vie à une autre, racontant aspirations et défaites. ''Ayache
mauvais temps ou Ferhat Elouardi'' ont leur place à côté de Che Guevara ou
Liamine Zeroual.
On y retrouve des anecdotes surprenantes, ‘’Drana séduction el moubenedj ou Hebiche képi el moukhadhar ‘’ vécues autour de l’auteur, qui donne à voir et à découvrir.
On y retrouve des anecdotes surprenantes, ‘’Drana séduction el moubenedj ou Hebiche képi el moukhadhar ‘’ vécues autour de l’auteur, qui donne à voir et à découvrir.
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