vendredi 9 septembre 2022

HOMMAGE A MA MĖRE. « MOUMIA » mise a jour.

Redouane Oumenoune, huit ans déjà ! au jour d'aujourdh'ui celà fait 21 ans.
Il y a huit ans, l’une des plus talentueuse Mère de sa génération tirait sa révérence et nous quittait sans le vouloir sur un coup de cœur, en fait une implacable embolie graisseuse, vécue et ressentit comme la sentence suprême. C’était un dimanche 09 septembre 2001 au environ de vingt heure, comme celui de cette année : simple coïncidence ou clin d’œil frappant ! De la meilleure mère du monde ? Qui le saura ? Évoquer en ce jour sa mémoire, avec nostalgie, nous désarçonne quelque peu et nous donne un arrière-goût surréaliste. Surréaliste ? Le mot est lâché : c’est dans un but précis, celui du faire valoir et légitimé qu’on avait voulu « ranger » Redouane Oumenoune, MOUMIA pour les proches et les amis, fort nombreux au demeurant. Mais est-il nécessaire et surtout est-il possible de classer systématiquement des émotions, des états d’âme ? Oumenoune avait certes cette grande liberté de l’imagination sourde et silencieuse et cet
« automatisme pur » avec son simple et unique regard qui vous transperce et exprime tout, hors de toute règle rationnelle ou esthétique que personnes, sans doute parmi mes frères et soeurs ne peu désavoué.
C’est précisément pour cela qu’il ne convient pas de « l’agencer ». Comme beaucoup d’illustres Mère, Moumia était fasciné par la couleur bleue, évocatrice de l’azur et de l’océan, la couleur verdoyante paradisiaque mais aussi du Zenjarie et le Tartri – donc d’une grande et profonde affection pour les siens,
« Le Mirage », « L’Angoisse », « Le Rire » "la Peur"… Décidément, sont souvent omniprésent en elle avec une incommensurable Inquiétude de tous les instants, elle qui a, l’apanage d’une génération exceptionnelle de Mère surdoués, dont Moumia était la plus belle, le tout pour l’autre avec douceur et tendresse.
A la tête de cette cohorte, une « chef de meute », sa demie sœur El Akri pour qui elle avait grand respect, l’inusable khalti Mériem (Mère de Toufik), aussi khalti Yamina (Mère de Souilah), lala Messaouda et Boumaradji du stand (trop tôt disparu), elle également s’est éteinte à la fleur de l’âge et bien d’autres vielles sœurs et amies de ma Mère, de l’un ou l’autre des deux mondes.
Que l’on me pardonne l’oublie et le non point de ne pouvoir
donner une énumération exhaustive,car je voulais tout
simplement un rappel symbolique. Mais je ne peut, ne pas dire quelle a Adorée sa Mère qu’elle a très peut connu et dont elle nous a très peut parler par contre elle ne pouvait dissimuler un semblant de vouloir profond envers sa mère adoptive ZERADA dont elle parler beaucoup parfois en bien et souvent en mal, je ne sait si elle lui accuse pardon ! Ce qui peut nous faire dire que « la nuit, il est beau de croire en la lumière ». Repose en paix, chérie Mère, douce et tendre maman, tu a choisi de partir du lieu de ton choix, pour rejoindre dans les cimes ton bien aimé Ben Charade, très justement au rendez vous, le 137 ème jours de la « ããdda », ta bénédiction nous poursuit, nous et nos enfants, ta lumière brille haut et fort dans les cimaises célestes. A.B et S.A
« Allah Yarahmak B’rahamtou »
écrit datant de 07 ans après son décès 2007

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